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mercredi 17 mai 2017

Côte d'Ivoire : 18000 € par terroriste mutin c'est le cadeau de la Franceàfric pour leur participation au coup d'Etat contre Gbagbo (l'équivalent de 16 ans de travail pour la moyenne des Ivoiriens)

Par Julie Amadis
#IPEAVAEAFAF
Le 17/05/17

Les participants au putsch VS Gbagbo (du 16 décembre 2010 au 4 mai 2011) ont installé par la force comme "Président de Côte d'Ivoire" un homme du FMI sous la coupe de l’Élysée. Un pantin de l'impérialisme défendant les intérêts des entreprises Franceàfric, USAfric, Marocàfric etc.... Six ans plus tard, en janvier 2017, les milices terroristes de Guillaume Soro et d'Alassane Ouattara réclament leur part du butin colonial. Et ces mutineries de janvier ont recommencé depuis une semaine.

"Les premiers réclament un nouveau calcul de leur ancienneté et la fameuse prime Ecomog (du nom de la force de la Cedeao qui aurait pu intervenir en Côte d’Ivoire), en l’occurrence « cinq millions de F CFA [plus de 7 600 euros] et une villa promise » – promesse dont il n’existe aucune trace officielle, mais qui aurait été faite oralement. " Jeune Afrique
Pendant une semaine, ils ont fait régner la violence à Bouaké, Korhogo et Abidjan. On remarque la gène des "journalistes" Franceàfric de Libération qui n'osent pas qualifier ces milices terroristes de leur véritable nom et qui camouflent leurs crimes passés sous l'appellation "mutins"

"De nouvelles mutineries secouent la Côte d’Ivoire depuis vendredi, principalement dans les villes de Bouaké et Korhogo, les deuxième et quatrième plus importantes du pays. Les mutins réclament le versement de reliquats de primes qui leur avaient été promises en janvier, lors d’une vague précédente de mutineries.
Une vingtaine de personnes ont ainsi été blessées dimanche à Bouaké, dont six par balles. Les mutins y empêchent la population de sortir de chez elle, patrouillant dans les quartiers, tirant en l’air et passant parfois à tabac des habitants, selon des témoins. La veille, deux personnes avaient été gravement blessées par balles à Bouaké et Korhogo. L'une d'entre elles est décédée des suites de ces blessures ce dimanche." Libération

C'EST NOUS, ON L'A MIS AU POUVOIR (TERRORISTES MUTINS PARLANT DE LEUR MAITRE OUATTARA)


Ils se vantent (ce qui est vérité partielle) d'avoir "mis au pouvoir" Alassane Ouattara Le résistant FreeGabgbo Khaza Kakry a publié la vidéo de ces salopards sur sa page Facebook Ils clament ""Nous là, c'est nous on l'a mis au pouvoir, c'est nous on l'a mis au pouvoir".




Ces terroristes - les milices de Guillaume Soro - oublient juste de dire qu'ils ont été incapables de réaliser leur putsch. Et que ce sont les tanks et les avions de l'ONU et de l'Elysée qui ont, en réalité, renversé le président Gbagbo pour installer Soro comme président de l'Assemblée Nationale et Ouattara comme président fantoche

PRIME ECOMOG RÉCOMPENSE DES TERRORISTES
DE SARKOZY OBAMA CLINTON


Ils ont pris le contrôle de plusieurs villes et y font la "loi" du terrorisme Franceàfric USAfric. Comme leurs homologues du Mali et de Centrafrique. Ils contrôlaient les corridors dans les villes. Le Point aussi hypocrite les qualifie de "militaires mutins"
Ils contrôlaient les corridors dans les villes.

Ces militaires mutins ont chassé les policiers qui contrôlent habituellement les "corridors", et ont pris position sur les routes, bloquant les accès à Bouaké et empêchant toute circulation.
Les corridors Nord et Sud sont situés sur le principal axe routier du pays qui part de la capitale économique Abidjan, et poursuit vers le nord jusqu'au Burkina Faso voisin." Le point
Ils ont même fait payer les Ivoiriens "un droit de péage" de 15 €uros !

"Selon des témoins, les mutins exercent un droit de péage: 10.000 Francs CFA(15 euros) pour les camions ou bus, 5000 F CFA ou moins pour les véhicules. " Le point
Ce n'est pas leur première mutinerie. Leurs exigences étaient les même en janvier 2017. Alassane Ouattara avait promis qu'il répondrait à leurs revendications mais ils n'ont pas reçu l'intégralité des sommes réclamées.

Mais depuis hier soir, la mutinerie est finie. Les terroristes mutins ont accepté un accord avec le gouvernement de Ouattara.

"Les soldats ivoiriens mutinés ont annoncé mardi 16 mai qu’ils acceptaient un accord avec le gouvernement sur le versement des primes restantes et convenaient dans le même temps de regagner leurs casernes.

Les militaires qui se sont révoltés ces derniers jours à Bouaké et en d’autres points du pays ont dit accepter un versement immédiat de cinq millions de francs CFA (7 620 euros) par personne, qui sera suivi de deux millions de francs CFA (3 050 euros) à la fin juin."

DES SOMMES ÉNORMES POUR RÉCOMPENSER
LES TERRORISTES DU COUP D’ÉTAT VS GBAGBO :
L’ÉQUIVALENT DE 16 ANNÉES DE TRAVAIL DE L'IVOIRIEN MOYEN 


Alors que Ouattara leur avait déjà lâché 7500 euros  fin janvier suite à leur première mutinerie.
Comme l'accord prévoyait le versement de 12 millions de FCFA (18000 euros). Il manquait 10500 euros. Les sommes manquantes vont être remises aux terroristes mutins.

Les mutins avaient alors réclamé 12 millions de francs CFA de primes (18 000 euros) par personne et obtenu le versement dès janvier de 5 millions (7 500 euros). On leur avait promis les 7 millions restants par tranches à partir de mai.(Le Monde)

Cette somme est impressionnante dans un pays pauvre où le salaire moyen est de 92,13 euros.

Le cadeau des terroristes mutins correspond à 16 années de travail de l'Ivoirien moyen !

Les soldats gagnent déjà bien plus que la majorité des Ivoiriens. Le simple soldat de base gagne 210000 franc CFA ce qui correspond à 320,14€ soit 3,47 fois plus que la moyenne des travailleurs en Côte d'Ivoire.

SALAIRES DES SOLDATS (JANVIER 2015)

"SOLDAT DE RANG: 210 000 FCFA
CAPORAL : 225 000 FCFA
CAPORAL CHEF : 240 000 FCFA
SERGENT : 300 000 FCFA
SERGENT-CHEF: 450 000 FCFA
ADJUDANT : 600 000 FCFA
ADJUDANT CHEF: 700 000 FCFA
ADJUDANT CHEF MAJOR:750 000 FCFA
SOUS-LIEUTENANT: 760 000 FCFA
LIEUTENANT: 780 000 FCFA
CAPITAINE: 800 000 FCFA
COMMANDANT: 900 000 FCFA
LIEUTENANT-COLONEL: 1.000.000 FCFA
COLONEL: 1.300.000 FCFA
GÉNÉRAL: 1.500.000 FCFA
L’information n’a pas été démentie par l’Etat-Major." Connexion Ivoirienne


Bien évidemment, le salaire d'un simple soldat est inférieur au PIB moyen mondial par personne. Nous, les révolutionnaires Sankaristes nous réclamons 1000 euros par terrien + 500 euros par enfant de moins de 14 ans. Je copie colle un extrait d'un post facebook de Yanick Toutain à ce propos :

1° les #révolutionnaires #Sankara annoncent
Si notre projet est l'alignement des revenus africains sur l'Europe (et donc 1000 euros pour tous)
à la 1° étape nous verserons
10 000 révos par adulte et par adolescent (valeur initiale 60 000 FCFA qui sera multipliée par 10 par la fin de la Franceàfric)
5 000 révos par enfant de moins de 14 ans (valeur initiale 30 000 FCFA qui sera multipliée par 10 par la fin de la Franceàfric)
Une famille de mutins (comme les autres Ivoiriens) formée de 2 adultes 1 adolescent junior de 15 ans 2 pionniers de 6 et 10 ans RECEVRA 4 PARTS et donc un revenu de 240 000 FCFA
Mais ces soldats ne sont pas des soldats ordinaires œuvrant pour la sécurité de leurs compatriotes. Ce sont des soldats gangsters qui devraient être devant les tribunaux pour leurs crimes au service de la Franceàfric.
Le journal médiafric "Le Point" précise qui sont les terroristes mutins .... mais en se gardant bien de les appeler "terroristes".... Sur consigne de l'Elysée le Point les appelle ""rebelles" Le nom rebelles est le nom officiel que la DGSE décerne aux terroristes obéissant qui assassinent uniquement les cibles désignées par les généraux Puga et Beth et par leurs successeurs de 2017 :
"
"Ce sont d'anciens rebelles qui ont occupé le nord de la Côte d'Ivoire à partir de 2002 lorsque le pays a été coupé en deux après un coup d'Etat manqué. En 2010-2011, ils avaient soutenu l'actuel président Alassane Ouattara pendant la crise post-électorale quand l'ancien président Laurent Gbagbo avait refusé de reconnaître sa défaite. En récompense, 8.500 d'entre eux avaient été intégrés dans l'armée.
Aujourd'hui, ils réclament des primes promises par ce même président Ouattara. En janvier, lors d'un premier mouvement qui avait ébranlé le pays, ils avaient obtenu une promesse de 12 millions de F CFA (18.000 euros) dont 5 millions avaient été payés en janvier, les 7 millions restants devant être versés ce mois de mai." Le point

C'est une honte pour des Ivoiriens ayant participé à un coup d'Etat franceàfric pour favoriser les intérêts des entreprises françaises comme Bolloré (qui a acquis la totalité du port d'Abidjan après le coup d'Etat) et  Axa, Total, BNP Paribas, Airbus Group, Vinci, de réclamer de telles sommes dans un pays où 30% de la population est en sous nutrition !

La malnutrition reste une préoccupation sur l’ensemble du territoire ivoirien. Plus de 30% de la population souffre de malnutrition. Cela a été révélé, récemment à Grand-Bassam par la ministre de la Santé et de la lutte contre le Sida, Pr N’Dri Yoman, à l’ouverture de l’atelier sous-régional sur la surveillance nutritionnelle. La Côte d’Ivoire à l’image des pays de la sous-région ouest-africaine est confrontée à la malnutrition.Abidjan.net

LA FRANCEAFRIC A RÉCOMPENSÉ LES PETITES FRAPPES DU PUTSCH CONTRE GBAGBO


Fillon a été récompensé par le groupe Axa et son ex PDG Henri de Castries pour sa participation aux coup d'Etat par 20000 €.

"Fillon a reçu 200 000 € de AXA par sa société écran 2F Conseil

C'était évidemment la corruption en remerciement de l'installation des terrroristes en Côte d'Ivoire
Sarkozy et Fillon agissaient sur instruction de Johnnie Carson pour téléguider les milices dozos dont Henri de Castries a été intronisé chef coutumier par celui qui organisait dès le printemps 2010 les premières tentatives (ratées) de trucage des élections, le terroriste Beugré Mambé qu'on voit sur la photo." Revactu

Les petites frappes terroristes gangsters réclament aussi ce qu'ils considèrent comme un dû.


Ce sont les tarés dozos que la Slavoisie des patrons des grosses entreprises françaises payant des salaires de misère en Afrique a pris dans ses rangs pour d'abord créer un climat de terreur en Côte d'Ivoire pendant presque 10 ans puis comme force pour organiser le coup d'Etat de 2011 suite à la victoire électorale de Gbagbo qui leur déplaisait vivement.

Je copie colle un extrait d'un de mes anciens articles :

20000 victimes chez les partisans de Gbagbo (selon la Fédération nationale des victimes de la crise post-électorale (Fenavipel-CI)).
Des massacres, comme ceux de Duékoué, qui font 1000 morts selon Caritas International. Les hommes de Ouattara ont commis des viols de femmes en masse. Ils ont aussi incendié des villages entiers. L'organisation Human Rights Watch a enquêté et montré comment des femmes, des hommes, et des enfants ont été massacré en 2010, parce qu'ils étaient supposés être des partisans de Gbagbo.
"Les personnes avec qui Human Rights Watch s'est entretenu ont décrit comment, village après village, les forces pro-Ouattara, maintenant appelées les Forces républicaines de Côte d'Ivoire (FRCI), ont sommairement exécuté et violé des partisans supposés de Laurent Gbagbo, alors qu'ils étaient chez eux, qu'ils travaillaient dans les champs, qu'ils fuyaient ou tentaient de se cacher dans la brousse. Les combattants ont souvent sélectionné leurs victimes en fonction de leur origine ethnique et les attaques ont touché de façon disproportionnée les personnes trop âgées ou trop faibles pour fuir." Human Rights Watch  
Ces gangsters Ouattaristes ont massacré village après village. Ils œuvraient comme les pires gangsters fascistes, violant les femmes, tuant des familles entières, brûlant les maisons...
 Dans chaque village au sujet duquel Human Rights a mené des recherches, des combattants des Forces républicaines s'étaient livrés au meurtre, au viol et au pillage de la population constituée principalement de Guérés. Originaires de l'ouest de la Côte d'Ivoire, les Guérés ont largement voté pour Laurent Gbagbo aux élections présidentielles de 2010. Une femme de 47 ans a raconté à Human Rights Watch que des combattants avaient tué sous ses yeux son père, son mari et son fils de 10 ans, non loin de la plantation de cacao de la famille, près de Doké. Un homme de 32 ans a rapporté comment les forces pro-Ouattara étaient entrées dans Diboké et avaient ouvert le feu sur des habitants qui étaient sortis de leurs maisons en courant, ne sachant pas à quel camp appartenaient les combattants qui les attaquaient. L'homme a vu trois personnes se faire tuer juste devant lui. Dans au moins 10 villages non loin de Toulepleu et de Bloléquin, les habitants ont dit qu'ils s'étaient cachés dans la brousse et avaient vu les Forces républicaines mettre le feu aux maisons ainsi qu'aux greniers ou étaient stockés les récoltes et les semences. Les témoins ont également raconté avoir vu ces combattants abattre les animaux et voler tout ce qui avait de la valeur. Human Rights Watch

TOUT COMME LES NAZIS AVAIENT RECYCLÉS LES GANGSTERS
 LA SLAVOISIE A RECYCLE LES  DOZOS SPÉCIALISES DANS LE CRIME 

Tout comme les nazis avaient recyclés les gangsters de l'ancien système pour les intégrer dans la sphère étatique, Ouattara et la France Chiraquienne et Sarkozyste ont recyclés les gangsters en les manipulant pour qu'ils agissent pour leur compte.
Les dozos, ces guerriers habitués aux viols, meurtres et à la torture ont agi pour le compte de la
France pour semer le chaos en Côte d'Ivoire et y déloger un Président pas assez coopérant avec la bourgeoisie esclavagiste française.
Jeune Afrique décrit ce que sont les Dozos et à quoi ils vont servir :

Originaires du Nord, tout comme Alassane Ouattara, les dozos s’engagent majoritairement en sa faveur, contribuant à renverser l’ancien chef de l’Etat en avril 2011. De nombreux méfaits leur sont imputés. En juillet 2011, des déplacés d’une ethnie pro-Gbagbo affirment qu’ils ont pris part au massacre d’au moins six d’entre eux à Duékoué (Ouest)." Jeune Afrique
 
Ces gangsters, au service d'une puissance étrangère, savent qu'ils sont protégés et qu'ils seront impunis tant que ce sera le capitalisme colonial qui sera aux manettes. Ils le savent d'autant plus, que juste avant les massacres de Dékoué, a eu lieu un trucage électoral suivi d'un coup d'Etat que leur chef Alassane Ouattara et leur soutien indéfectible, le gouvernement français, ont organisé.

On voit là que les méthodes gangstéroises non étatiques et les méthodes de la bourgeoisie esclavagistes, la Slavoisie ont des points communs comme le mensonge, le trucage, la violence, le crime.
La Slavoisie a ses institutions et ses médias. Elle peut dans ce cadre truquer des élections et organiser un coup d’État en faisant croire que la responsabilité incombe à son ennemi.


LIRE INTÉGRALEMENT :

Ouattara, Soro au pouvoir en Côte d'Ivoire : alliance de la Gangstéroisie et de la Slavoisie


Ces terroristes aux méthodes de gangsters ont été intégrés dans l'armée ivoirienne et ont pris la place des autres.

"Plusieurs anciens chefs de guerre du Nord, désormais intégrés dans l'armée, se trouvent dans le collimateur de plusieurs organisations des droits de l'homme. Ils sont en effet dénoncés pour des arrestations arbitraires, de mauvais traitements, des actes de racket et des exactions, pendant et après la crise postélectorale54. En , des officiers de l’armée ivoirienne dénoncent le manque de discipline et le non-respect de la chaîne de commandement de ces anciens chefs de guerre" Wikipédia

Ce n'est un secret pour personne qu'ils ont par la force mis un homme au pouvoir sous demande de vautours Franceàfric.
Mais la CPI continue de faire croire que Ouattara a été démocratiquement élu et que Gbagbo a voulu s'accrocher à son poste de Président (alors que c'était lui le vainqueur des élections présidentielles, le conseil constitutionnel l'avait annoncé !).
En tout cas, les terroristes mutins clament la vérité (à savoir qu'ils ont participé au coup d'Etat pour y installer Ouattara) afin de récupérer le butin colonial.

"Au 3e bataillon d'infanterie de Bouaké, énorme camp militaire en partie désaffecté, des mutins sont assis sous des arbres ou discutent sur des murets.
"Ce n'est pas un coup d'Etat. Nous voulons nos primes. Le président (Alassane Ouattara) a signé un papier pour dire qu'il était d'accord. Quand il paiera, on rentrera chez nous. On ira jusqu'au bout. Nous sommes les 8.500 qui avons porté Ouattara au pouvoir, on ne veut pas le faire partir mais il doit tenir sa parole", affirme un porte-parole, sous couvert de l'anonymat.
 "Le point
Les journaux français se retrouvent en porte à faux avec les mensonges qu'ils ont toujours proclamés sur l'arrivée au pouvoir de Ouattara.


DES DÉLÉGUÉS RÉVOCABLES (CDR) PRENDRONT LA PLACE DE OUATTARA ET SA CLIQUE MIS EN PLACE PAR LA FRANCE

DES DÉLÉGUÉS RÉVOCABLES SÉCURITÉ PRENDRONT LA PLACE DE CES GANGSTERS DOZOS INTÉGRÉS DANS L’ARMÉE


La population ivoirienne ne peut pas continuellement subir la politique Franceàfric.
Elle ne va pas continuellement vivre dans une misère telle que 30% de la population est en sous nutrition.
Elle ne va pas continuer à laisser ces vautours de l'Afrique, cette Slavoisie française décider du sort de leur avenir.
Non !
Les Ivoiriens sont des Résistants. Ils le montrent dans leur soutien au Président élu que la Franceàfric a envoyé à la CPI, ils le montrent dans leur critique perpétuelle de ceux qui volent les richesses de leur pays, ils le montrent par tout un tas de gestes de résistance au régime Ouattara quotidiens.
Ils ne leur manquent plus que de s'organiser et de se faire représenter.
Il faut qu'ils reprennent l'héritage de Sankara, qu'ils fassent des CDR. Des délégués de base  1 pour 25, délégués conseillers 1 pour 625, délégués députés 1 pour 15625 et délégués nationaux 1 pour 390625.


DÉLÉGUÉ NATIONAL
Le délégué national représente 390625 personnes
25*25*25*25

25 délégués députés qui sont d'accord entre eux forment un CONSEIL DE DÉLÉGUÉS DÉPUTÉS de DÉFENSE DE LA RÉVOLUTION (CDD-DR) Ils vont désigner un DÉLÉGUÉ NATIONAL révocable qu'ils vont envoyer au CNR
X délégués députés forment un COMITE REGIONAL de défense de la révolution (CRDR) Ils ne sont pas tous d’opinion identique et VOTENT pour diriger la région
délégué député
Le délégué député représente 15625 personnes
25*25*25
25 délégués de conseils qui sont d'accord entre eux forment un CONSEIL DE DELEGUES DE CONSEILS DE DEFENSE DE LA RÉVOLUTION (CDC-DR) pour désigner ensemble un DELEGUE DEPUTE REVOCABLE qu'ils vont contrôler
X délégués de conseil d'une ville forment un COMTE DE VILLE DE DEFENSE DE LA REVOLUTION (CVDR) Ces délégués ne sont pas tous d'opinion identiques et VOTENT pour diriger la ville
délégué de conseil
Le délégué de conseil représente 625 personnes
25*25
25 délégués de base qui sont d'accord entre eux forment un CONSEIL DE DELEGUES DE BASE DE DEFENSE DE LA REVOLUTION (CDB-DR) vont désigner
ensemble mi DELEGUE DE CONSEIL qu'ils vont contrôler.
X délégués de base d'un quartier forment un COMITE DE QUARTIER DE DEFENSE DE LA REVOLUTION (CQDR) Ces délégués ne sont pas tous d'opinion identiques et VOTENT pour diriger le quartier
Structures verticales de désignation
de contrôle
et de révocation
possible
délégué de base
Le délégué de base représente 25 personnes
Structures horizontales d'organisation
25 DELEGATEURS DESIGNENT LEUR DELEGUE DE BASE (DB)
25 délégateurs se réunissent en un CDR de base Ils forment un Comité de Base de Défense de la Révolution CBDR


Il faut aussi des délégués sécurité, de véritables représentants du peuple ayant une liste de personnes les ayant choisis et révocables à tout moment. Ces délégués sécurité prendront la place de ces gangsters capables des pires crimes pour un butin colonial.

Lire :

Projet de panstitution mondiale (version 1.6.3)

Nous attendons que les terroristes mutins implorent le pardon aux Ivoiriens et à tous les libres humains en donnant tous les renseignements sur la façon dont l’Élysée et l'ONUCI les ont manipulés pour qu'ils commettent ces crimes.
Ces mutins seront jugés par le Nuremberg de l'Afrique pour leurs crimes par des juges délégués révocables.

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