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vendredi 3 juillet 2015

3 juillet 2014 L'administration et les syndicats SNUIpp UNSA votent mon exclusion pour 2 ans de l'Education Nationale

par Julie Amadis
#IPEAVAEAFAF 
3/7/2015



Je suis au RSA. Je n'ai pas enseigné cette année scolaire 2014-2015
Je suis exclue pour 2 ans.
Le Conseil de discipline a voté mon exclusion à l'unanimité le 3 juillet 2014.
Avec des mensonges, des faux en écritures et des syndicats qui protègent les profs qui tapent les enfants

LA MINISTRE NAJAT VALLAUD BELKACEM SE VANTAIT DE TAPER SES ENFANTS DE 5 ANS


La ministre de l'Education tape ses enfants.
Elle s'en vantait 3 mois avant sa nomination à l'Education Nationale.
Mais c'est moi qui suis exclue.
Mon collègue de l'école Valmy -Léon Launay tape ses élèves depuis 1993.
Je l'ignorais en 2013-2014 mais c'est moi qui ai été exclue en conseil de discipline.
Et c'est lui le principal témoin de l'accusation !
"A l'espace Coty, elle aurait distribué des tracts. Au marché d'Harfleur, on l'a vue là-bas, des parents d'élèves l'ont vue et reconnue à Aplemont, distribuer les tracts."(extrait de l'acte d'accusation de Monique Béaur faux témoignage de Léon Launay")

Un autre de mes collègues tape lui aussi ses élèves. Le scandale vient d'éclater en 2015 : c'est une mère d'élève déléguée qui vient de me l'apprendre il y a un mois.

J'avais écrit au ministre Benoit Hamon.
Il ne daigna pas me répondre.
Et quitta son poste un mois et demi plus tard


Julie Amadis
à
Ministre de l'Education Nationale
Transmis directement vu l'urgence
et les circonstances

Monsieur le ministre de l'Education Nationale,


Vous pouvez rester dans la même ligne et laisser mes harceleurs me révoquer. Dans ce cas, je ferai savoir à la population comment sont traités les témoins de violences à enfants dans les écoles quand ils refusent de se taire. Comme je le fis en janvier 2008. Je suis persécutée depuis.


14 faux témoignages dans le dossier d'accusation me suffisent pour vous annoncer que je ne serai pas présente à la mascarade de justice demain 3 juillet à l'inspection académique de Rouen.
La prétendue dénonciation de l'inspectrice du Havre Nord que mentionne ma convocation au conseil de discipline n’apparaît nulle part dans le dossier.
Cela s'ajoute aux multiples faux en écritures publiques contenus dans l'inspection de l'inspecteur Olivier Basély. Faux recelés par le DASEN pour m'attribuer la note de 3/20 avec une évidente intention de nuire à ma réputation.
(Des faux en écritures dont l'accusation ne conteste pas l'existence pour la principale puisque mes lourds classeurs de fiches de préparation prétendues inexistantes dans le rapport sont effectivement mentionnées quand les parents délégués qui me soutenaient les avaient présentés à mr Serge Tillmann, inspecteur d'académie du Havre. Il m'est reproché de les avoir prêtés aux parents pour prouver mes dires)
Cela s'ajoute aux injures publiques proférées par l'IA Serge Tillmann devant mes parents d'élèves le 8 avril Je serais « antisémite, pro-Soral », propos dolosifs je serais « anti-Franceàfric » comme si cela était un crime, et dénonciation calomnieuse : je serais « une intelligence au service d'une puissance étrangère »
Ces graves accusations proférées publiquement ont disparu du dossier d'accusation.
Elles étaient pourtant le motif public de ma suspension.
Elles ont disparu du dossier.... comme a disparu du dossier l'entièreté de cette réunion : il n'y a aucun témoignage de mr Tillmann. Ni aucun témoignage de Mme IEN de Petra du Havre Nord dont la prétendue dénonciation ne figure nulle part ailleurs que dans la lettre de convocation au conseil de discipline.
Je n'obéirai pas à l'ukase de monsieur Philippe Carrière DASEN et de mme Monique Béaur son bras droit.
Ils organisent mon harcèlement depuis la rentrée 2013.
Je n'irai pas au conseil de discipline destiné à faire taire définitivement la témoin de violence en 2008 qui a refusé d'obéir à son directeur d'école et à un syndicaliste UNSA en 2013 et d'aller s' »EXCUSER » pour mon témoignage des faits que j'avais constatés il y a 6 ans.
Un conseil de discipline faisait recel d'un nombre incalculable de faux en écritures publiques et un nombre énorme de faux témoignages.


Le courrier des parents d'élèves me soutenant a été laissé sans réponse par vous-même.
Cela semble indiquer votre prise de partie en faveur de mes harceleurs et de l'opération secrète qu'ils mènent depuis septembre 2013.

Je ne reviendrai jamais sur mon témoignage de 2008 et le harcèlement que je subis depuis la rentrée pour me faire revenir sur mes déclarations de janvier 2008 n'aura aucun effet sur moi.
Je perdrai mon emploi s'il le faut pour protéger les enfants des violences de mes collègues enseignants.

Aucun des témoignage de l'accusation ne porte de signature, la quasi totalité ne contient aucune date des prétendus faits constatés ou rapportés sur la base de ragots.
Mes distributions de tracts #FreeGbagbo #HollandeDEGAGE sont truquées par ces faux témoins en prétendues distribution du tract de parents d'élèves qui me soutenaient.
Y compris dans des lieux où je n'ai jamais mis les pieds de toute ma vie (marché d'Harfleur)


Grâce à cette convocation, je viens – paradoxalement - d'obtenir les preuves du harcèlement dont je suis victime depuis le mois de septembre 2013 et au sujet duquel j'avais demandé l'intervention de Mme Claudine Schmidt-Lainé Rectrice de Seine-Maritime dans mon courrier de novembre 2013 – courrier resté sans réponse de sa part à ce jour.
C'est ce courrier qui servit de prétexte à me faire donner un avertissement et une séance de remontrance par Monique Béaur.

En effet, l'un des « témoins » Patrick Clabaut se coupe et avoue qu'il exerce des pressions sur moi destinées à me contraindre à m'excuser auprès de l'inspecteur Deplanque : mon harceleur de 2008.

J'ai aussi constaté que Mr Philippe Carrière a fait disparaître de mon dossier professionnel toutes les traces du harcèlement dont j'ai été victime à l'époque.
Ni le courrier de la principale Hervieu du collège Varlin, ni mon courrier au Recteur de Seine-Maritime en juin 2008 n'y figurent. NI aucune des pièces concernant la prétendue « enquête » dont j'ai entendu des échos de son existence en 2014.

Je vous prie donc de faire immédiatement cesser les agissements de tous les coupables de cette opération de harcèlement concerté.
J'ai bien compris que c'est l'enseignant agresseur de l'école dont je viens d'apprendre qu'il tape depuis 20 ans qui est le moteur local de l'opération – ami de 20 ans de l'inspecteur et du directeur de l'école.
De faire procéder par leurs remplaçants à l'annulation de la totalité des pièces susceptibles de poursuite pénale et donc d'annuler la totalité des arrêts et décisions illégales me concernant basées sur des fausses déclarations et avec une intention de nuire avérée maintenant.
Pour le cas où les décisions prises par ce conseil de discipline illégal basé sur des faux en écritures publiques étaient validées officiellement, je me verrai dans l'obligation de poursuivre tous les receleurs de ces pièces.

Veuillez agréer monsieur le ministre l'expression de mes sentiments respectueux et de ma volonté de voir les enfants bénéficier d'un enseignement dans un lieu dans lequel toute violence (psychologique ou physique) est définitivement bannie.

Je me tiens à votre disposition dans ce but.

Julie Amadis


141° jour d'exclusion d'une prof des écoles pour avoir dénoncé des violences à enfants


Productions artistiques de mes élèves. Projet avec le satellite Brindeau
par Julie Amadis
#IpEaVàEaFàF
le 05/12/14
"C'est dommage que vous ayez refusé l'Inspection me dit il vous auriez eu une bonne note.
Vous êtes quelqu'un de très investie auprès des élèves. On le voit bien."
Olivier Basélyinspecteur IEN
de St Valéry-en- Caux


Aujourd'hui, c'est le 141ème jour d'exclusion. Une exclusion avec un motif mensonger et dont le document est un faux en écritures !

Le motif invoqué :

"Considérant que l'enquête administrative réalisée le 17 avril 2014 a établi que Madame Julie AMADIS a distribué des tracts de soutien dont le contenu met en cause nominativement plusieurs fonctionnaires de l'Etat ainsi que le fonctionnement de l'Académie. ""

LE MOTIF D'EXCLUSION EST UN MENSONGE :
DES TRACTS QUE JE N'AI JAMAIS DISTRIBUES !


Ces tracts de soutien, je ne les ai jamais distribués !
Ce sont les tracts que les parents avaient distribués à la sortie de l'école le vendredi 21 Mars et le lundi 24 Mars 2014.
Séverine Breton, parent déléguée qui a distribué ces tracts témoigne (lire son témoignage manuscrit ci-dessous)
Nous ne nous étions jamais rencontrées avant qu'elle apprenne par un intermédiaire - Yazid Meddad, autre délégué - mon histoire et qu'elle décide de me défendre.
Je n'étais même pas au courant qu'elle et son collègue allait distribuer des tracts de soutien devant l'école le vendredi 21 mars (elle m'a prévenue le matin devant la grille de son intention)  :



  L'INSPECTEUR DE L’ÉDUCATION NATIONALE QUI M A VIRÉE EN 2008 (J’ÉTAIS A L’ÉPOQUE ASSISTANTE PÉDAGOGIQUE) EST REVENU 6 ANS PLUS TARD ME HARCELANT ET ORCHESTRANT MON EXCLUSION DE L’ÉDUCATION NATIONALE à PARTIR DE LA RENTRÉE 2013

Des tracts qui racontent la répression que je subissais depuis le début de l'année scolaire par un Inspecteur qui avait étouffé une affaire de violences à enfants dont j'avais été témoin en 2008.
Suite à ma lettre de témoignage de violence auprès de petits de 3 et 4 ans, j'avais été convoquée le vendredi 14 mars 2008 par l'Inspecteur qui organisait mon licenciement en 2008 et a orchestré mon exclusion en 2014.

J'avais à l'époque raconté factuellement comment s’était déroulé cet entretien  : 

"Le Vendredi 14 Mars : Je suis convoquée par Monsieur Patrick Deplanque, inspecteur de circonscription et Mme Hervieu, principale du collège et pilote du réseau ambition réussite Eugène Varlin.
  Mr Deplanque ne compte rien faire concernant cette affaire et soutient l'attitude de la directrice Mme Véronique Combret. Il en fait un portrait élogieux.

Monsieur Patrick Deplanque me reproche d'avoir été voir l'assistante sociale : "mais pourquoi êtes vous allez voir l'assistante sociale ?".
Il y a là une volonté délibérée d'étouffer l'affaire.

S'ensuit une série de reproches qui n'ont aucune logique à part celle qui se résume à ce proverbe "quand on veut tuer son chien, on dit qu'il a la rage".

Entre autres, on me reproche de ne pas rester le midi avec mes collègues de la maternelle. Et, Monsieur Deplanque se dit "inquiet qu'une personne comme moi puisse devenir professeur des écoles" et "quand on ne partage pas les valeurs de l'Éducation Nationale, il ne faut pas y entrer"... Je lui réponds du tac au tac : " Ah bon parce que les valeurs de l'Éducation nationale, c'est de taper les enfants !!""(Chronologie des faits témoignage de violence à enfants en 2008 alors que je suis assistante pédagogique)

HARCÈLEMENT ET RÉPRESSION D'UNE TÉMOIN
DE VIOLENCE A ENFANTS


Après avoir reçu un avertissement pour avoir écrit à la Rectrice pour lui demander de me protéger du harcèlement de Mr Deplanque, j'ai été convoquée et j'ai reçu un avertissement.

UN RAPPORT D'INSPECTION REMPLI DE FAUX EN ÉCRITURES

J'ai ensuite été inspectée alors que je refusais l'Inspection (droit du fonctionnaire).

L' inspection a eu lieu sans les élèves donc. L'avocat à Rouen que j'ai rencontré doutait fortement de la légalité à venir m'inspecter alors que j'avais refusé l'Inspection !
Mais je suis inspectée par un autre inspecteur que celui qui me harcèle.
Un autre inspecteur aux ordres de l'Inspecteur d'Académie qui a rédigé la lettre d'exclusion !

UN INSPECTEUR QUI ME COMPLIMENTE SUR MON INVESTISSEMENT IMPORTANT AUPRÈS DES ÉLÈVES
POUR ENSUITE ME FAIRE PASSER POUR UNE FUMISTE DANS SON RAPPORT

L' inspecteur  a fait bonne figure le jour de l'Inspection et m'a complimentée même pour mon investissement .
"C'est dommage que vous ayez refusé l'Inspection me dit il vous auriez eu une bonne note. Vous êtes quelqu'un de très investie auprès des élèves. On le voit bien."
Mais le rapport ne fait pas état de ces compliments et de ce constat qu'il avait fait "de quelqu'un d’investi dans son travail".
Le rapport d'inspection me présente comme une fumiste !
Il semblerait que ce monsieur ait rédigé un rapport pour faire plaisir à sa direction....
Et comme il a eu sa mutation tant désirée près de son domicile à la rentrée 2014 . ... On peut penser qu'il a été récompensé pour ses bons et loyaux services !

"PAS DE TRACES D’ACTIVITÉS ESTHÉTIQUES"
A ÉCRIT L'INSPECTEUR BASELY SUR LE RAPPORT


Mes élève de CE1 en train de créer des maisons (projet Perrey)

Productions artistiques de mes élèves. Projet avec le satellite Brindeau

Un mois plus tard, je découvre que le rapport d'inspection est truffé de faux en écritures publiques !
Il est indiqué:
"pas de trace d'activités esthétiques"
alors que la classe était remplie de maisons "projet Perrey" crées par les enfants !







J'aime La création artistique et donc il y avait les créations des enfants... J'ai gardé quelques photos qui le prouvent (mais comme j'ai perdu mon ancien ordinateur j'en ai perdu beaucoup).



Les productions artistiques des enfants avaient été exposées dans la rue !

C'est important de mettre en valeur les créations des enfants et le projet "la Grande Lessive" avec le Satellite Brindeau l'avait permis.







Un spectacle de marionnettes avait été réalisé
 un mois et demi avant.
Les enfants avaient fabriqué les marionnettes, inventé leur histoire par groupe et l'avait mise en scène. Il y avait une ambiance de créativité extraordinaire dans la classe tout le mois de novembre et de décembre pour la préparation du spectacle pour les parents. Et tous les parents sont venus voir leurs enfants.



Il était aussi indiqué qu'il n'y avait aucune fiche de préparation spécifique.


"Madame Amadis n'a présenté à ce jour aucune fiche de préparation spécifique"

C"est un mensonge éhonté !

Je faisais en moyenne 4 fiches de
Ma préparation que l'Inspecteur a feuilleté toute une matinée
mais qui est inexistante  selon ses propos dans le rapport d'inspection !
préparation par jour plus un cahier journal !!!! Il y avait 2 gros classeurs (français et maths), et un cahier par discipline. L'inspecteur a pourtant passé plusieurs heures à observer mes fiches de préparation et m'en a parlé pendant l'entretien !










Et j'ai reçu une note de 3/20. Une note pédagogique ! Alors que c'était une inspection administrative !!!!

AUCUNE ENQUÊTE SUR LES ENFANTS TAPÉS
DEPUIS PLUSIEURS GÉNÉRATIONS DANS L’ÉCOLE


"Considérant que l'enquête administrative réalisée le 17 avril 2014 a établi que Madame Julie AMADIS a distribué des tracts de soutien" (lettre d'exclusion 17 juillet 2014)

Les parents d'élèves délégués écrivent au ministre
Vincent Peillon le mercredi 16 avril 2014 (voir lettre au ministre ). Il demande à ce qu' une enquête soit faite concernant le professeur de l'école qui tape ses élèves. Il précise dans leur lettre qu'ils ont recueilli des témoignages et donc qu'ils ont des preuves.

Aucune enquête ne sera menée sur les violences subies depuis 20 ans par plusieurs générations d'enfants dans l'école (voir l'Havrais Vérité)  !!!!

UNE ENQUÊTE POUR SE DÉBARRASSER DE LA TÉMOIN DE VIOLENCE A ENFANTS : UNE "ENQUÊTE"  DE FAUX TÉMOIGNAGES

Et l'Inspection recueille le témoignage de l'agresseur d'élèves contre moi. Un faux témoignage bien sur ! Un témoignage inventant que j'aurai distribué des tracts dans des endroits imaginaires, dont un où je n'ai jamais mis les pieds, le marché d'Harfleur !


D'autres collègues disent m'avoir vu dans le Havre avec des tracts. Mais l'enquêtrice - qui n'est autre que l'inspectrice d'académie adjointe Monique Béaur qui m'avait convoquée à cause de ma lettre à la Rectrice et qui disait avoir bien rigolé avec l'inspecteur de ma lettre - ne demande pas à ces gens "quel tract avez vous vu dans ses mains ?"
Deux jours avant ma suspension je distribuais des tracts dans le Havre anti franceàfric. Ces tracts n'avaient rien à voir avec le tract de soutien auquel l'Inspection fait référence !

AUCUN MEDIA NE PARLE DE CETTE AFFAIRE !

Les médias auraient t-ils peur de l’État ?
Auraient ils peur de se mettre les syndicats en plus à dos ? Le SNUIPP et L'UNSA ont voté mon exclusion, les autres font les morts depuis le début de l'affaire !

Par contre les profs qui tapent dans les écoles (plus de 10 écoles sur le Havre (témoignages recueillis) peuvent continuer à taper, à maltraiter les enfants. ils sont bien protégés. Par tout le système. Protégés par les syndicats, protégés par l'administration, protégés par les médias ... On lit de temps à autre un article sur un parent qui a agressé un prof, un jeune qui a agressé un prof ! Rien sur les enfants agressés par des profs et rien sur une enseignante exclue pour avoir dénoncé des violences !!!!


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